Corps qui vieillit
pourriture du temps
laisse place à butiner
(Pour savoir la strophe #1 cliquez sur ce lien: https://www.instagram.com/journallyste/?hl=fr-ca )
À travers la terre
entrailles en décomposition
respiration s’essouffle
(Pour voir cette strophe #2 rendez-vous ici: https://www.facebook.com/JournalLYste/)
Émotions calfeutrées
clones sans ressemblances
marchant dans le vide
En elle une pousse
grandit en cage
extirpant sa force
Provient laideur dictée
moisie, mais toujours pure
échardes devenues douces
Sentiment échappé
criminel en vol plané
prêt à les attaquer tous