Monde dépendant,
rues assombries,
la planète se meurt
Elle se révolte,
en noventbre,
crée le doux chaos
Apocalypse en cours,
chargement des watts,
la sécurité en suspend
La peur crispe
les corps refroidis
par la chaleur lunaire
(Pour voir cette strophe #1 rendez-vous ici: https://www.facebook.com/JournalLYste/)
Parmi le silence
se cache le rugissement
d’une Terre noyée
Sortir au Laurier
pour croire en l’humanité
revenir à la maison-hôpital
Où l’espoir s’éteint
à coup de bips stridents
incessants, infinis
À la lueur cirée
on commande :
premier souper
romantique d’ambiance
Collés on parle
D’avenir…
Si l’heure est venue
Si oui, on se dit
je t’aime
et ça nous comble
Car, en ville
entourés, avec
nourriture en décomposition
Sans armes,
sans rien
nous serions les premiers
Le noir resterait
pour toujours
L’alarme cesserait
Peur sur arrêt
Anxiété éradiquée
Mais l’amour multiplié
(Pour savoir la fin #1 cliquez sur ce lien: https://www.instagram.com/journallyste/?hl=fr-ca )